Devant le refus des autorités municipales d’autoriser les marches suivies de sit-in, les organisations regroupées au sei’ du cadre d’action et de concertation de la société civile optent pour des manifestations étendues sur le temps et l’implication de nouveaux acteurs.
Nigerfocus le 25 avril 2018: Selon Mounkaila Halidou, il s’agit d’un sit-in le vendredi à la place de ma concertation de 14 heures à 23h30, d’un appel aux Nigériens de la Diaspora d’organiser des manifestations devant les chancelleries nigériennes à l’étranger le samedi et l’organisation de prières collectives le dimanche dans les differentes mosquées du pays.
Au secrétaire général adjoint de la Confédération nigérienne du travail de s’étonner par rapport aux raisons avancées par le gouvernement pour interdire les manifestations de la société civile.
« Nos manifestations ont été interdites par manque d’éléments de. forces de défense et de sécurité pour pouvoir encadrer nos manifestations. Avec quels moyens le gouvernement va encadrer ces manifestations du 1er mai. » a martelé M.Halidou.
Depuis le début des manifestations contre la loi des finances 2018, 26 personnes croupissent dans les prisons.